Durée : 1 h | 2 h
Public cible : Élèves de la 7ᵉ à la 12ᵉ année (écoles secondaires francophones de l’Ontario)
Capacité : Maximum 25 élèves
Espace requis : Une salle où l’on peut écrire sans retenue, sans gêne et sans tables trop rigides.
Format : Un·e auteur·rice professionnel·le débarque pour secouer la langue et redonner à l’écriture son instinct de liberté.
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Ici, on n’écrit pas pour bien faire — on écrit pour vivre.
Inspiré de la méthode de Jack Kerouac et de la folie douce des auteur·rices franco-ontarien·nes, cet atelier fait sauter les verrous de la langue, la peur du mot parfait et la page blanche trop sage.
On plonge dans l’écriture comme dans une ruelle mal éclairée :
on avance, on trébuche, on découvre.
Les écrivain·es franco-ontarien·nes ont toujours brassé le français pour lui donner de nouvelles formes, de nouveaux souffles. Cet atelier s’inscrit dans cette lignée : un espace libre pour expérimenter, tordre et inventer.
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Écriture automatique – On suit l’instinct, pas la grammaire. Les idées sortent avant d’être comprises.
Jeux d’écriture absurdes – Trop ou pas assez de mots, écrire comme un cri, un chuchotement ou un animal blessé.
Lecture-performance – Le texte quitte la page, prend vie dans la bouche.
Abolition de la page blanche – Pas d’inspiration ? Parfait. On crée à partir du vide.
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Désinhiber l’écriture → Écrire d’abord, réfléchir ensuite.
Libérer la voix personnelle → Chaque texte a sa musique, chaque élève son style.
Jouer avec la langue → Défoncer les règles pour mieux s’approprier le français.
Assumer et partager → Les mots sont faits pour être lancés, vécus, entendus.
Se relier à la culture franco-ontarienne → Marcher dans les pas de celles et ceux qui ont osé avant nous.
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Expression orale et écrite → Jouer avec les registres, du sérieux à l’absurde.
Expérimentation narrative → Inventer de nouvelles manières d’écrire et de dire.
Confiance linguistique → La langue appartient à celles et ceux qui la font vibrer. Réflexion et partage → Oser écrire sans peur, avec panache.